• #MonsLivre2018 : rencontre avec Rose P. Katell

     

     Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire ?

    Je suis tombée dans l'imaginaire depuis longtemps, avec Harry Potter, par exemple.

    J'ai toujours voulu inventer des histoires, et comme j'avais un horaire avec beaucoup d'heures de fourches, je les ai mises à profit pour écrire.

    Aucun texte alternatif disponible.

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ?

    C'est toujours dans l'imaginaire. J'essaie d'écrire des contes à l'ancienne, mais avec une touche de modernité. 

    Parmi tous les personnages que vous avez créés, si un seul devait sortir du lot, lequel choisiriez-vous?

    Victoriana, mais elle apparaît dans un livre qui n'est pas encore publié. 

    Au départ, c'est un personnage très égoïste, ça change de ce que j'écris d'habitude. 

    Quel a été l'accueil du public face a vos livres? 

    Je suis très étonnée, malgré l'auto-édition, l'accueil a été très positif et j'en ai de bons retours, je suis contente et ça m'encourage à continuer.

    L’image contient peut-être : texte

    Un petit mot sur le salon ?

    Bonne ambiance, bon accueil et le contact avec les autres auteurs amènent à de bonnes discussions. 

     

    Page FB de Rose P. Katell 

    Son site internet

    Vous pourrez la retrouver, le 9 décembre, au marché de Noël de Stembert


  • Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire ?

    Une semaine d’hospitalisation, une péritonite, des intestins perforés et une survie quasi-miraculeuse.

    Sans exagération aucune, je puis affirmer que l’écriture est chez moi un besoin viscéral.

    J'ai pris conscience alors que mon temps était compté, que j’avais tout intérêt à écrire, vite, vite, vite, avant que la Faucheuse ne m’inscrive dans son grand livre.

     

    Rencontre avec Anthelme Hauchecorne

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ?

    Structural pathologique à tendance névropathe.

    Je ressens le besoin de tout planifier : mes intrigues, mes chapitres, mes personnages, mes répliques et mes pauses-café.

     

    Vous reversez une partie de vos droits d'auteur à des associations, pourquoi ?

    Parce que je ne sais plus quoi faire des tonnes d’or que me rapporte le métier d’auteur

    Tout cet argent dans mes poches, c’est totalement indécent.

    J’ai bien conscience, en tant qu’écrivain, d’appartenir à une caste de nantis et de privilégiés.

    Alors, pour me donner bonne conscience et minorer mon Impôt Sur la Fortune, je joue les gentils mécènes au profit de causes humanitaires : combattre la pauvreté, défendre notre planète, préparer des lendemains qui chantent et un monde en joie.

    Parce que j’ai le cœur d’un bisounours, l’âme d’une licorne et des paillettes plein les mirettes.

     

    Rencontre avec Anthelme Hauchecorne

    Parmi tous vos personnages, lequel préférez-vous ?

    Alberich, le nabot bavard du Carnaval Aux Corbeaux.

    C’est une abjecte raclure comme je les affectionne : onctueuse en apparence et duraille en dedans.

    Un petit bout d’homme avec une grande gueule, qui vous débite des méchancetés à une cadence de sulfateuse.

     

    Quel argument mettriez-vous en avant pour convaincre quelqu'un de vous lire ?

    Ne lisez pas mes livres, c’est une perte de temps.

    Avec un peu de chance, quelqu’un finira bien par en tirer une BD avec des dessins ou mieux, un film avec de vrais acteurs.

    Et si d’ici quelques mois vous ne voyez poindre ni BD ni film avec mon blaze en gros sur l’affiche, vous tiendrez alors la preuve définitive que mes écrits ne valaient rien. Parce que comme chacun sait, les bons livres finissent TOUJOURS par être adaptés au cinéma. Le reste, c’est de la crotte.

    Ou faites comme moi : demandez à vos amis d’acheter mes livres pour mieux les leur piquer.

     

    Rencontre avec Anthelme Hauchecorne

    Côté lecture, que lisez-vous ?

    L’heure, le programme télé et la carte des desserts.
    Quand ma cervelle crie famine, j’essaie de la nourrir avec de la bonne mangeaille. En ce début 2018, j’ai (re)découvert avec plaisir les plumes de Christelle Dabos, Nathalie Dau, Stefan Platteau et Ursula K. Le Guin.

     

    Si j'avais une baguette magique, et le pouvoir de faire apparaitre un auteur, là tout de suite, qui aimeriez-vous rencontrer ?

    Yal Ayerdhal, pour lui dire combien il nous manqu


  •  

    #monsLivre2017 : rencontre avec Philippe Dumont

     

    Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire ? 

    Toute ma jeunesse a été orientée vers la lecture fantastique, Marvel, etc. J'ai toujours refusé la banalité du quotidien.

    En 2001 est sorti mon livre "La danse du Fou" 

    Je me suis spécialisé dans le fantastique. En 2012 j'ai été membre du jury du BIFFF (festival international du film fantastique de Bruxelles). et membre du jury, pour les scénarii en 2015. 

    Je prépare également deux romans mêlant fantastique et horreur. 

    A côté de ça, j'ai une formation en psychopolémologie, et je fais de la sculpture, j'ai réalisé de nombreux trophées pour différentes remises de prix.

    Aucun texte alternatif disponible.crédit photo : P. Dumont

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ? 

    Du réalisme fantastique, comme dans la sculpture. Tout est vrai dans mes descriptions. C'est un style fluide et imagé.

    Et côté lecture, que lisez-vous? 

    Je lis beaucoup de polars des années 50, mais je suis aussi très littéraire, j'aime beaucoup Robert Merle.

    Résultat de recherche d'images pour "pour quelques grammes d'éternité"

    Et si j'avais une baguette magique et le pouvoir de faire apparaître un écrivain, là, tout de suite, qui aimeriez-vous voir apparaître ? 

    Jean Cocteau. Ou Guitry, pour son humour

    Un mot sur le salon?

    Le public s'intéresse, pose des questions sur les livres, et l'accueil est chaleureux.

     

    Page facebook (Pour la sculpture)

    Page facebook (pour l'écriture)


  • #MonsLivre2017 : rencontre avec Jean-Pol Somain

    Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire ? 

    Ma belle-mère. 

    Ah ? 

    Je suis athée, mais elle, elle est extrêmement croyante, alors j'ai voulu étudier les évangiles, afin de les comprendre, idem avec l'Ancien Testament.

    Et ça vous a conduit à l'écriture ?

    Oui, mon premier livre comporte des textes avec une racine historique très forte, ce qui m'a conduit aux Sumériens. 

    Résultat de recherche d'images pour "jean pol samain"

    Par la suite, j'ai décidé d'écrire un roman avec  une petite partie sur Hérode le Grand
    Il y a aussi un personnage mystérieux dont je préfère taire le nom pour ne pas dévoiler trop vite l'histoire. 

    Résultat de recherche d'images pour "jean pol samain"

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ?

    Elle est douce.

    Parmi vos personnages, lequel préférez-vous?

    Celui dont je ne veux pas donner le nom

    Côté lecture, que lisez-vous?

    Des BD, de la science fiction, des revues scientifiques et aussi des romans avec un fond historique.

    Si j'avais le pouvoir de faire apparaître un auteur, là tout de suite, qui aimeriez-vous rencontrer? 

    Bernard Werber.

    Un petit mot sur le salon ? 

    Trés agréable, il y a beaucoup de monde, et ce salon permet de rencontrer des petits auteurs.


  • #MonsLivre2017 : rencontre avec Thierry Delvaux @Editionspdl

    Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire ? 

    J'ai toujours été passionné par les arts, et j'ai toujours écrit ue ce soit des poémes, des contes et puis des romans. Le premier roman était un défit car ça paraissait difficile, et finalement, j'en suis à mon troisième. 

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ? 

    Mon style évolue au fur et à mesure, je n'ai pas de canevas précis. Je ne cherche pas à perdre le lecteur dans différents styles. J'essaie d'être simple, fluide et addictif.

    Parmi vos personnages, quel est celui que vous préférez ? 

    Kiara. (de mon premier roman)

    Il s'agit d'une jeune femme de 22 ans, assassinée en Italie en 1947. Le récit est basée sur un fait réel (la mort d'Elvira). L'histoire se déroule sur fond de fascisme, après la seconde guerre mondiale. 
    D'ailleurs, ce roman est en cours de réécriture.

    Des projets ? 

    Une histoire se passant en novembre 1918.

    L'orphelin de Coimbra

    Et côté lecture, que lisez-vous ? 

    Je lis de tout, des thrillers, de la poésie, j'aime aussi les histoires à suspens, comme celles de Peter James. 

    Cependant j'essaie de ne pas me laisser influencer par l'écriture des autres, je tiens à garder ma personnalité.

    Si j'avais une baguette magique et le pouvoir de faire apparaître un écrivain, là tout de suite, qui aimeriez-vous voir ? 

    Arthur Conan Doyle, Maurice Leblanc ou Jean Ray.

    Un petit mot sur le salon ?

    L'ambiance est bonne, il y a beaucoup de visiteurs, et le public est réceptif.


  • #MonsLivre2017 : rencontre avec Valérie Gosse

     

     

    Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire ? 

    Je m'ennuyais en internat, alors  j'ai écrit pour tuer le temps, d'abord des poèmes et ensuite des romans.

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ? 

    Simple et fluide. C'est le parlé de tous les jours.

    Résultat de recherche d'images pour "valérie gosse"

    Parmi tous vos personnages, lequel préférez-vous?

    Louka, le personnage principal de "Si je deviens grand, je te tuerai".

    Côté lecture, quel genre lisez-vous ? 

    Boris Vian (J'irai cracher sur vos tombes)
    Victor Hugo

    Si j'avais le pouvoir de faire apparaître un auteur, là, maintenant, qui aimeriez-vous rencontrer ? 

    Victor Hugo.

    Un petit mot sur le salon ?

    J'avais peur qu'on soit entassé, mais finalement, c'est bien espacé et aéré.

     


  • #Monslivre2017 : rencontre avec Florian Mastroseria

    Qu'est-ce qui t'a poussé à écrire ?

    J'ai commencé un jour, et je ne me suis plus jamais arrêté. J'ai surtout écrit ce que j'avais envie de lire.

    Comment qualifies-tu ton style d'écriture? Et à qui s'adresse ton livre ? 

    L'écriture est simple et facile à suivre. Je l'ai écrit à 13 ans
    Le tome 1 s'adresse à un public entre adolescent et adulte, quand au tome 2, il est plus dirigé vers un public adulte

    Résultat de recherche d'images pour "florian mastroserio"

    Et côté lecture, que préfères-tu ?

    Les polars, j'aime beaucoup Agatha Christie et Harlan Coben.

    Si je pouvais faire apparaître un écrivain, là, tout de suite, qui aimerais-tu vois ? 

    Agatha Christie ou J.K. Rowling.

    L’image contient peut-être : 2 personnes, texte

    Un petit mot sur le salon ? 

    Il est chaleureux, les gens sont attachants, on reviendra sûrement.


  • #MonsLivre2017 : rencontre avec Justine Gillet

    Qu'est-ce qui t'a poussé à écrire ?

    Mon rêve c'est la bande-dessinée. A la base, j'avais donc écrit un scénario de BD et puis les idées affluaient, plus je trouvais que ça donnait bien en livre. 

    Comment qualifies-tu ton style d'écriture ?

    Simple, sans prise de tête. Il n'y a pas beaucoup de description, pourtant il est très visuel.

    Résultat de recherche d'images pour "justine gillet terre d'eden"

    Des projets ? 

    Une saga jeunesse, un livre pour enfant dans le style d'Ernest et Célestine.

    Et côté lecture, que lis-tu ?

    Harry Potter, La guerre des Clans, Twilight, le Seigneur des anneaux. Les livres d'Amélie Nothomb.

    Par contre, je n'aime pas les histoires d'horreurs et de zombies!

    Et si je pouvais, grâce à une baguette magique, faire apparaître un écrivain, qui aimerais-tu rencontrer ? 

    Amélie Nothomb.

    Un petit mot sur le salon ?

    Les gens sont intéressés par les livres et on est bien placé !

    L’image contient peut-être : 3 personnes, personnes souriantes

    Crédit photo Alain Reynders. 

    (sur la photo, L. Reynders, moi, J.Gillet)


  • #MonsLivre2017 : rencontre avec Maïté Delcourt  @EditionsPDL

     

    Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire ? 

    Mon fils était dans le coma après un accident. Donc quand il en est sorti, il avait beaucoup de questions. J'ai donc écrit pour lui. Et ma fille m'a convaincu de le faire éditer, j'ai donc envoyé le manuscrit et il a été sélectionné.

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ? 

    Facile à lire, car il est écrit comme on parle. 

    Résultat de recherche d'images pour "le miraculé de la n7"

    Comment votre fils a-t-il vécu la sortie du livre ? 

     Il a très bien réagi, il a reçu beaucoup de soutien , a fait des connaissances et participe avec moi aux salons pour expliquer son combat.

    Comment va-t-il aujourd'hui?

    Il va mieux, donc je vais mieux.

    Et votre fille ? 

    Elle était contente pour moi, et aussi parce que je partage l'espoir qu'on peut toujours se relever.

    Comment le public a-t-il accueilli votre livre?

    Les retours sont assez positif car il y a beaucoup d'espoir dans ce récit.

    Un petit mot sur le salon ? 

    J'étais un peu stressée au début, mais le contact avec les gens est assez positif.

     

     


  • #MonsLivre2017 : rencontre avec Delicia Pioggia @EditionsPDL

     

    Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire?

    L'idée m'est venue par hasard, j'avais envie de parler de l'immortalité  et d'une histoire d'amour, j'ai donc mélangé les deux.

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ? 

    Il est simple mais laisse transparaître les émotions. Il y a peu de descriptions.

    Résultat de recherche d'images pour "jeu cruel delicia pioggia"

    Parmi vos personnages, lequel préférez-vous? 

    L'héroïne principale. 

    Elle veut être libre, mais elle a peur de cette liberté. Dans un sens, tout le monde peut s'identifier à elle.

    Toutefois même si elle est simple, elle ne se laisse pas marcher dessus.

    Et côté lecture, que lisez-vous?

    Des romans d'amour, des histoires vraies, des thrillers psychologiques.

    Si j'avais une baguette magique et donc le pouvoir de faire apparaître un auteur, là, tout de suite, qui aimeriez-vous rencontrer?

    Meg Cabot, j'ai lu tous ses livres.

    Un mot sur le salon ?

    C'est un chouette salon, avec beaucoup de Mons.

     

    Page auteur


  • #MonsLivre2017 : rencontre avec Yasmina Bouko

    Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire ? 

    Des problèmes de santé. J'ai écrit pour combler les nombreuses heures passées à l'hôpital. Je me suis prise au jeu des atelier d'écriture.

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ?

    C'est un premier livre, je n'ai donc pas la prétention de dire que j'ai un style particulier. Je pars toujours d'un fait historique réel, et je "déforme" l'un des personnages pour en faire une fiction, par exemple le gang des bikers dans mon livre. Les membres existent vraiment, mais le récit est imaginaire.

    J'aime amener le lecteur à connaître des faits historiques par la détente, sans qu'il ne s'en rende compte.

    Résultat de recherche d'images pour "yasmina bouko"

    Des projets ?

    Le livre que je suis en train d'écrire est une autofiction que j'avais besoin de mettre sur papier pour faire face au suicide raté de ma fille. Pour exprimer ma vision de cette horrible année et de ce combat afin de lui rendre goût à la vie.

    Toutefois, j'aimerais me développer dans la romance et le thriller à l'américaine.

    Parmi vos personnages, lequel préférez-vous?

    Amalia. C'est un personnage dans lequel il y a beaucoup de moi que ce soit consciemment ou inconsciemment. Inconsciemment parce qu'on me reconnait dans certains points alors que je ne m'en étais pas rendue compte. 
    Elle me ressemble par sa candeur, sa naïveté et sa gentilesse sans pour autant être mollassonne. Elle se bat si la cause en vaut la peine.

    L’image contient peut-être : une personne ou plus et texte

    Côté lecture, que lisez-vous?

    Avant, je lisais surtout des auteurs US en version originale ou en version française mais maintenant je me diversifie. Plus je lis, moins j'ai un style de lectures précis. Je suis parfois attirée par un titre ou une couverture 

    Si j'avais une baguette magique pour faire apparaître un auteur, qui voudriez-vous rencontrer?

    Molière.

    Un petit mot sur le salon ?

    C'est mon 1er salon, il y a une bonne ambiance. Le salon est bien agencé, l'organisation parfaite.
    On y découvre beaucoup d'auteurs locaux.

    La courtoisie de Koba et ses collègues est exemplaire.

    Page de l'auteur

     

     


  • #MonsLivre

     

    Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire ?

    J'écris depuis toujours. L'adolescence était un âge chahuté et j'étais très littéraire pour m'évader, j'ai commencé à écrire de la poésie et des petits textes.
    Mon mari est décédé en 2012, et ça a été un élément déclencheur. Je me suis mise à écrire des romans, et en 2016 j'ai présenté à l'édition un thriller psychologique noir. Il s'agit du portrait d'un psychopathe meurtri.

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ? 

    J'écris des genres différents.
    Mon premier livre est d'un style coupant, mais avec une écriture classique. 

    Le deuxième par contre est composé de plus de dialogue, avec une écriture fluide et belle, on est porté par  le  souffle de l'histoire. 

    J'essaie de varier et de m'améliorer.

    Des projets ? 

    Un livre pour "adulescent" avec un personnage qui n'est pas "net", déstabilisant mais quand même humain.

    Parlez-nous de votre livre "C'est un secret entre nous".

    C'est la naissance d'un psychopathe. On le suit de ses 3 ans à ses 9 ans. Alban est né d'un viol, mais il vit avec sa mère qui l'a accepté malgré tout. Toutefois il y a de l'inceste entre eux.

    On découvre le parcours de ce garçon perdu qui évolue entre amour et haine, de la délinquance au meurtre.

    On fait également connaissance avec deux personnages importants pour Alban. Betty, rencontrée en primaire et qu'il recroise plus tard ainsi que Sylvain, le garde forestier. 

    L'histoire se passe dans les Ardennes. Et il faut savoir que certains passages sont dures et crus. 

    Je l'ai écrit en 5 semaines avant de le retravailler pour le proposer à un éditeur. 

    Résumé éditeur :

    Alban est le résultat d'un viol crapuleux que sa mère a subi à l'âge de 16 ans.  Elle n'avait rien confessé à quiconque et a voulu élever son enfant toute seule.  Mais elle portait en elle une haine féroce qui a dévié sur un comportement incestueux avec son petit garçon, devenu progressivement enfant, puis adolescent, puis jeune adulte...Un jour, le cadenas de cette prison plus qu'ambiguë s'est fracassé, et Alban a quitté sa mère pour voler de ses propres ailes.

    Mais le mal était fait et les démons reviennent sans cessse le tourmenter dans son esprit et dans sa chair inassouvie, et il sombre très vite dans des actes criminels répétés inacceptables, insoutenables, voire ignominieux, toujours secondé et servi par son âme damnée, « Momo », qui croit  le rejoindre,   mais reste toujours, malgré lui, sur la touche.

    Ce thriller haletant, très bien mené, offre toutefois au lecteur des moments de vraie respiration ; celui-ci a le sentiment d'une lueur dans toute cette obscurité, mais le Destin poursuit implacablement son œuvre destructrice dans la vie d'Alban, marquée au fer rouge par l'horreur et l'indicible de ses premières années.  Que devra-t-il accepter, ou plutôt subir, pour réparer les dégâts d'une vie aussi déchirée  ?

    Parlez-nous, maintenant de Novaya Era.

     

    Ce livre est sorti en avril 2017. C'est un thriller sociopolitique qui se passe dans les pays Baltes. 

    J'essaie de mettre en évidence la minorité russophone présente en Lettonie où il sont considérés comme des non-citoyens.

    Novaya Era, mouvement communiste nostalgique, au cœur de Riga en Lettonie. Son leader, Valdis, fantasque et utopiste, vivant dans la micronation d'Uzupis au sein de la capitale lituanienne. Une Occidentale en voyage, Line Darsan, syndicaliste convaincue, épouse désenchantée d'un fonctionnaire du Ministère des Affaires étrangères et mère marquée par le deuil de son enfant, tombe sous le charme et la fascination du jeune Valdis. De la passion à l'aveuglement, Line rentre dans un monde fragile et menaçant, encore empreint des relents contradictoires d'un passé totalitaire.

    Parmi tous vos personnages, lequel préférez-vous ? 

    Alban Soquet, bien que j'aime aussi Valdis.

    L’image contient peut-être : 2 personnes, personnes souriantes, personnes assises et intérieur

     

     

    Et côté lecture, que lisez-vous?

    Je lis moins depuis que j'écris, mais j'aime beaucoup les livres de Fred Vargas. Ou "La peau de l'ours" de Joy Sorman.
    Et j'aime beaucoup les livres ésotériques, concernant les EMI (ndlr : expériences de mort imminente).

    Si j'avais une baguette magique, quel écrivain aimeriez-vous voir apparaître ?

    Emile Zola et Fred Vargas.

    Un petit mot sur le salon ? 

    C'est la deuxième fois que je viens. Je suis contente de partager ma table avec Yasmina Bouko.

    J'apprécie beaucoup les différentes rencontres et les échanges avec le public.

     Page auteur


  • Fanny Carbonnel, jeune actrice Avignonnaise de 29 ans interprète le rôle de Mrs Goldstein, la maman de Tina ( Katherine Waterson ) et Queenie ( Alison Sudol) dans la nouvelle saga dérivée de Harry Potter. Elle m'a fait l'honneur de m'accorder une interview, que vous pouvez retrouver ci-dessous !

    Qu'est ce qui t'a poussé à t'orienter vers le théâtre?

    J'ai commencé à regarder plein de films à partir de 12/13 ans et à avoir envie de devenir actrice sur grand écran. Comme je ne connaissais pas vraiment la marche à suivre, pour me tester, j'ai commencé par faire le théâtre.

    Comment en es-tu venue à jouer dans "les animaux fantastiques"?

    J'ai été envoyée sur le casting par grande chance et avec presque zéro info, et j'ai réussi à rester concentrée et assurer ma place. Nous étions une trentaine de jeunes femmes ce jour-là et j'ai été très honorée d'être choisie pour le rôle de la maman des deux actrices principales.

    comment c'est passé le tournage?

    Après plusieurs visites pour mon costume, le jour J est arrivé. C'était une atmosphère très agréable, et j'ai rencontré une équipe et des acteurs simples et amicaux. C'est un jour gravé dans mon cœur, car infiniment spécial. 

    Quel a été ton meilleur souvenir de cette aventure? 

    Il y a eu deux moments très forts: quand on m'a appris que j'allais jouer dans le film, et quand j'ai rencontré David Yates ( le réalisateur) et que ses premiers mots ont été : "Hello Fanny, Welcome to the family".

    Quel est ton personnage préféré dans Harry Potter et dans les animaux fantastiques? 

    Dans Harry Potter, j'aime beaucoup Rogue et Dumbledore. J'ai une préférence pour tous les personnages adultes, et c'est surement dû au fait que j'ai lu les bouquins à 27 ans. Dans AF, j'ai un coup de cœur pour mes filles. Elles ont un potentiel immense pour que leurs personnages se dévoilent et nous surprennent encore plus dans les 4 prochains films. 

    Quel serait ta maison à Poudlard et à Ilvermorny, l'école de magie américaine? 

    D'après mes tests sur Pottermore je suis à Gryffondor à Poudlard et Thunderbird à Ilvermorny. 

    Interview de Fanny Carbonnel ( les animaux fantastiques)

     

    Merci encore à Fanny d'avoir pris le temps de m'accorder cet interview, et nous lui souhaitons beaucoup de chances pour sa carrière !


  • Cliquez sur les images, elles mettront dans le bon sens pour la lecture ;)

    Anne-Sophie MALICE dans le proximag, hauts pays, du 26 avril 2017

    Anne-Sophie MALICE dans le proximag, hauts pays, du 26 avril 2017

     

    Crédit scan : Ciné-Adri pour Les Lectures de Lilly 

     


  • Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire?

    J'ai toujours aimé partager des univers. J'ai participé à énormément de jeux de rôles qui ont pris fin depuis, et donc, j'ai transformé cet univers en univers littéraire, avec un monde complet dans mes romans.

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture?

    Il est délibérément simple pour une lecture fluide et agréable, ce qui permet de donner accès à des romans dont la lecture est rendue facile.

    Quel argument mettriez-vous en avant pour (essayer de) convaincre quelqu'un de vous de lire ?

    Il s'agit d'un roman fantasy dont le héros principal est nordique. Une histoire de viking. Le héros est un homme ordinaire, sans magie, qui se bat pour suivre sa destinée.

    @TrollsLegendes 2017 : Rencontre avec Valentin Frété

    Côté lecture, que lisez-vous?

    Je lis très peu afin d'éviter d'être influencé quand j'écris. Mais quand je  lis, c'est en majorité  de la science-fiction.

    Et si j'avais une baguette magique et le pouvoir de faire apparaître un auteur, qui aimeriez-vous rencontrer? 

    R. A. Salvatore

     

    PAge auteur





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