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Sur la planète Mars, en 2541. Quatre adolescents vivent dans un Eden mystérieux, mi-paradis mi-prison, avec pour seule compagne une étrange gouvernante.
Ils mènent une existence sans heurt jusqu'au jour où ils décident de quitter ce cocon pour explorer le monde. Sur leur chemin : un lac noir, une pyramide maya, des ogres mais aussi un agent du Comité d'Ethique Mondial et un savant fou à qui ils doivent la vie.
Pour les quatre héros, l'aventure se transforme peu à peu en parcours initiatique et en quête des origines. De cette épreuve, ils ne sortiront pas indemnes...
Entre fantastique et science-fiction, ce roman fascinant, récompensé par de nombreux prix, s'interroge sur le progrès scientifique et redessine les contours de l'humain.Je ne connaissais pas du tout. Je l'ai découvert, par hasard, dans la caisse qu'un membre de ma famille m'avait donné pour que je dépose les livres qu'il ne voulait plus dans la boite à livre de ma rue. Mais j'ai poussé la curiosité plus loin, et j'ai décidé de les lire avant.
Il s'agit, ici, d'une lecture jeunesse.
C'est un roman court (moins de 200 pages). J'aurais adoré lire ça comme lecture imposée à l'école, mais bon....
L'histoire est racontée comme un récit de vie, sous forme de journal (en "je"), ce qui nous plonge totalement dans le texte.
Le livre se lit rapidement et j'avoue avoir été surprise par la fin, en effet, j'avais l'impression qu'elle allait couler de source, et en fait c'était sans compter sur les rebondissements.
Bref, lisez jeunesse, lisez !
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« L’art est un mensonge qui dit la vérité… »
Paris, un atelier d’artiste caché au fond d’une allée verdoyante.
Madeline l’a loué pour s’y reposer et s’isoler.
À la suite d’une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.
L’atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l’assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd’hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d’unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.
Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais.
Guillaume Musso signe un thriller addictif et envoûtant porté par des personnages profondément humains. Une plongée vertigineuse dans le monde mystérieux de la création.J'ai été ravie de retrouver Madeline Greene (croisée dans L'appel de l'ange).
J'aime beaucoup des petits clins d’œil d'un livre à l'autre.
J'ai apprécié ma lecture. Une histoire où deux personnes, que tout oppose, se retrouvent obligées de collaborer dans une enquête un peu "capilotractée".
500 pages pour une enquête de 5 jours... autant dire que le rythme est soutenu mais bien heureusement, il est assez fluide ce qui rend la lecture facile et agréable.
Mon préféré de Guillaume Musso reste La fille de papier, mais j'ai passé un agréable moment lecture avec ce livre.
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Un campus prestigieux figé sous la neige
Trois amis liés par un secret tragique
Une jeune fille emportée par la nuit
Côte d’Azur - Hiver 1992
Une nuit glaciale, alors que le campus de son lycée est paralysé par une tempête de neige, Vinca Rockwell, 19 ans, l’une des plus brillantes élèves de classes prépas, s’enfuit avec son professeur de philo avec qui elle entretenait une relation secrète. Pour la jeune fille, « l’amour est tout ou il n’est rien ».
Personne ne la reverra jamais.
Côte d’Azur - Printemps 2017
Autrefois inséparables, Fanny, Thomas et Maxime – les meilleurs amis de Vinca – ne se sont plus parlé depuis la fin de leurs études. Ils se retrouvent lors d’une réunion d’anciens élèves. Vingt-cinq ans plus tôt, dans des circonstances terribles, ils ont tous les trois commis un meurtre et emmuré le cadavre dans le gymnase du lycée. Celui que l’on doit entièrement détruire aujourd’hui pour construire un autre bâtiment.je l'ai lu assez rapidement, sans m'ennuyer.
Le suspens est présent. Les personnages sont par moment surprenants, donnant une nouvelle tournure à l'enquête.
Evidemment, il faut aimer le style de l'auteur, mais ce livre est un bon thriller qui nous permets de passer un agréable moment lecture.
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Le printemps est la saison des révolutions : et si, cette année, nous assistions au printemps des seniors ? Car, comme le fait remarquer Georges : « Mai 68, c'était déjà nous ! »Les Lilas Blancs, une maison de retraite. C'est là qu'Alain, Béatrice, Bernadette et Georges se rencontrent, et commencent véritablement leur vie. A 70 ans.Neutraliser un jeune délinquant dans les rues de Mons, inviter la reine Mathilde à signer une pétition à vocation humanitaire, entreprendre un raid clandestin pour sauver un site naturel, emmener des SDF dans un restaurant étoilé, enregistrer une chanson qui deviendra un tube mondial, démonter une émission télévisée truquée, organiser un mariage gay dans le parc de la résidence, ?nos quatre héros n'ont plus une minute à perdre !
Il est bien fini, le temps où l'on infantilisait « les vieux » pour mieux les soumettre.
Gilles Horiac jette dans ce roman un regard drôle, tendre et optimiste sur la nouvelle génération des seniors.
J'ai adoré ce roman !
J'ai mis deux siécles pour rédiger mon article, et c'est regrettable, j'aurais pu vous le faire décovurir plus tôt ! #VilaineBlogueuse !
Ce livre plein d'optimise et d'humour aborde également des sujets actuels (mariage gay par exemple) avec douceur et bienveillance...
Le petit plus que j'ai apprécié c'est que l'histoire se déroulle dans ma ville (Mons).
Bref, si vous voulez passer du temps avec un livre agréable, sans prise de tête, je ne peux que vous le conseiller.
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Rançon du succès ?
Revers de la médaille ?Autant d'expressions convenues pour justifier la traque des stars, les photos volées, les téléphones écoutés, les enfants suivis, les familles meurtries.
Comme d'autres, j'ai longtemps cru que le silence constituait la meilleure expression de mon mépris. J'ai donc laissé aux journaux à scandale l'exclusivité de la version d'événements qui ont fini par faire douter les mieux disposés. Une légende tenace veut en effet qu'il y ait complaisance ou, pire encore, complicité de la part des victimes des paparazzi. En publiant cette Lettre ouverte, j'offre un nouvel os à ronger aux fauves qui, depuis cinq ans, me gâchent la vie et, plus grave, celle de ma famille.
La vengeance de ces empires de presse est implacable. Je le sais d'expérience. Mais il était grand temps de dénoncer ce qui est, hélas, devenu un phénomène de société. "Nous connaissons tous les clichés à sensations dans les magazines, on découvre ici l'envers du décors.
La traque du prédateur face à sa proie.
PPDA dénonce cet acharnement, ce manque de respect dont font preuves certains paparazzi.
Le souci, c'est qu'ils continueront tant qu'il y aura quelqu'un qui paiera pour avoir ces images, et d'autres pour les voir..
Ce livre confirme ce que je dis depuis toujours, ce n'est pas parce qu'une personne est connue qu'elle nous appartient...
Si on a droit à notre vie privée, elle aussi.
Lien vers mon article sur un autre livre de Patrick Poivre d'Arvor : Les enfants de l'aube
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À mi-chemin entre Jojo Moyes et Bridget Jones, un feel good book tout en émotions ! Scott a le cœur fragile, ses derniers examens ne sont pas bons. Mourir à 19 ans, le jeune homme s’y prépare, mais pas avant d’avoir trouvé un compagnon pour sa mère. En guise de petite annonce, il poste une vidéo sur les réseaux sociaux. Il espérait quelques réponses, ce sont plusieurs centaines de messages qu’il reçoit. Josie acceptera-t-elle de suivre dans cette ultime folle aventure.
Un magnifique roman!
L'amour entre une mère et son fils.
Je n'ai même pas envie de chroniquer ce livre, j'ai simplement envie de vous dire de le lire, de découvrir cette ode à l'amour...
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« Marqué par le drame qu’a causé la révélation de sa nature, Kalden choisit de s’effacer de la vie de Shanell, et cherche un moyen pour contrôler sa malédiction. Avec cet objectif, et habité d’un puissant désir de vengeance à l’encontre de l’Ordre des Chevaliers-Dragons, il rejoint la capitale des Métaberserks. De son côté, meurtrie par la perte de l’homme qu’elle aime, mais soutenue par le prince de Côme, la jeune femme poursuit son voyage vers Berness, afin d’informer l’empereur du complot qui menace son fils, consciente que le Commodore et ses sbires sont prêts à tout pour l’en empêcher. Englués dans les exigences du protocole impérial, confrontés au dévoilement de leurs origines, en butte aux agissements retors et meurtriers de leurs ennemis, Kalden et Shanell vont tenter de sauver l’Empire coûte que coûte. De découvertes en sacrifices, et de batailles rangées en duels, les chances pour les deux amants d’un avenir ensemble semblent s’amenuiser, jusqu’à disparaître, à moins que leur nature maudite ne soit finalement la clef de la salvation… »
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L'homme et la femme Poloverdo avaient un enfant qui poussait comme le reste sur cette terre, c'est-à-dire pas très bien. Il passait ses journées à courir après les serpents. Il avait de la terre sous les ongles, les oreilles décollées à force d'être rabattues par les rafales de vent, et s'appelait Paolo. Paolo Poloverdo.
C'est lui qui vit venir l'homme, là-bas, sur le chemin, par un jour chaud de janvier. Cette fois-là, ce n'était ni un géologue, ni un marchand de voyages, et encore moins un poète. C'était Angel Allegria. Un truand, un escroc, un assassin.
Au vu du résumé, je m'attendais à un récit s’apitoyant sur la vie du héros, mais heureusement, ce n'est pas vraiment le cas.
l'écriture est assez travaillé, toutefois, je n'ai vraiment accroché, et je n'ai pas su m'attacher aux personnages. De plus, j'ai eu l'impression, par moment, que le texte tirait en longueur.
Je sors donc de ma lecture mitigée, mais je suis certaine que ce livre plaira à d'autres.
Il en faut pour tous les goûts.
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"Le crime du comte Neville" raconte l'histoire d'une jeune châtelaine mal dans sa peau, qui cherche à se faire assassiner par son père, pour aider ce dernier à réaliser sans dommages la prédiction d'une voyante rencontrée à l'issue d'une fugue qui n'en est pas une...
Comme toujours avec Amélie Nothomb, on aime, ou on n'aime pas, et comme souvent, j'ai adoré.
Le livre se lit vraiment très rapidement.
Ce roman n'est pas juste une histoire rapide, c'est aussi une histoire qui met le doigt sur les travers de l'espère humaine.
Ce n'est pas mon Nothomb préféré, mais comme à chaque fois, j'ai passé un agréable moment avec un texte piqué d'humour, un brin caustique, et avec quelques dialogues déconcertants.
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Quand le Palais des Expositions de Parisore accueille le Salon Galien d’Automatie, c’est toute la capitale qui vit à l’heure des automates, quitte à chambouler quelques destins au passage.
Un attentat en plein concours de modélisation met l’inspecteur Balthazar Bouquet sur la piste d’une mystérieuse organisation pro-humaine alors même que sa sœur Adélaïde devient une célébrité dans le monde de l’automatie. Quant à Agathe Lepique, couturière timide et amie de toujours des Bouquet, elle voit sa vie transformée lorsqu’elle est embauchée dans l'atelier d'Edgar Weyland, un ingénieur de génie aussi énigmatique que séduisant. Son projet: créer la femme parfaite pour jouer le premier rôle dans un opéra romantique...
Des salles de bal étincelantes aux bas-fonds de la ville, Balthazar et Agathe vont découvrir à leurs dépens que l’amour, la vengeance et la haine ne sont pas réservés qu’aux êtres de chair et de sang.Encore une pépite !
Ce livre nous enveloppe dans un écrin et nous emmène au fil des pages.
On rentre directement dans le vif du sujet.
J'aime beaucoup ce genre de lecture avec des automates comme personnages.
Ce récit est addictif et prenant.
L'écriture est fluide et légèrement rapide, ce qui rythme l'histoire en donnant au lecteur l'envie d'avancer.
Encore une fois, le chat noir a déniché une perle. Décidément, c'est une valeur sûre ce chat!
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Il sera une fois vous invite à rêver demain : de l’humain au surhumain, de notre insignifiante petite planète aux confins de l’univers et au-delà, Southeast Jones vous convie à découvrir ses visions d’avenir au travers de quinze contes étranges, drôles ou inquiétants.
Ces histoires hors du commun vous fourniront nombre de réflexions sur les futurs possibles imaginés par l’auteur : quelle serait votre réaction si vous appreniez qu’il y a bien une vie après la mort ? Qui est ce Père Noël un peu bizarre que l’on voit le 24 décembre sur Carabistouille IV ? Quelles pourraient être les conséquences de la victoire des mutants contre le genre humain ? Quelles traces garde-t-on quand on a été avalé par un ogre ? Que faire si, pour sauver la Terre, il fallait détruire l’Humanité ?
S’inspirant du « Golden Age of science-fiction », l’auteur vous ouvre grand les portes de ses univers.Ce livre a obtenue le PRIX BOB MORANE 2017
J'avais déjà découvert la plume de l'auteur, notamment dans les receuils des Artistes Fous1. C'est donc avec plaisir que je l'ai retrouvé.
Ici, il s'agit de différentes nouvelles.
Les textes sont humanistes, certains diront pessimistes, mais je ne pense pas. J'aurais tendance à dire qu'ils ne sont que le reflet du monde actuel (en exagéré et en fictionnel, bien entendu) (oui, bon, je sais, je ne suis absolument pas compréhensible dans ce que je dis, j'ai perdu mon cerveau ce soir...).
Southeast Jones a une manière d'écrire qui nous pousse parfois à réfléchir sur nous-même et surtout sur notre société en nous permettant de nous projeter dans un futur hypothétique et alternatif.
L'écriture est simple et addictive, les textes courts (nouvelles) font que le livre se lit très rapidement.
Point bonus : chaque nouvelle est illustrée, ce qui renforce le visuel du récit.
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Une quête au rythme des colts et des winchesters !
Largo Callahan vit sur le fil, écartelé entre le monde des Apaches et celui des Blancs. Le métis ne connaît qu'une loi, la sienne. Ses passions : les armes, les femmes, et la vengeance, car il a juré d'expédier en enfer les assassins de son père. Avec sa bande de hors-la-loi, il écume l'Ouest, toujours prêt à un mauvais coup, du moment que ça rapporte.
Jusqu'au jour où une comtesse italienne, aussi belle que mystérieuse, lui propose une mission dangereuse et bien payée.
Largo, ayant cruellement besoin de dollars, accepte. Mais cette aventure va l'entraîner bien plus loin qu'il n'aurait pu l'imaginer. Sur un territoire où le danger n'a rien d'humain.Pour avoir discuté avec l'auteur, je sais que ce roman est différent de ce qu'il écrit habituellement , mais puisqu'il s'agit de mon premier livre de Michel Robert, je ne pourrai pas comparer.
J'avais envie de lire du western depuis un petit moment et ma discussion avec l'auteur (à Trolls et Légendes) m'en a donné l'occasion.
J'ai apprécié cette découverte. L'écriture est agréable à lire, elle est très visuelle, addictive et un minimum rythmée.
Par contre, pour donner cet effet visuel, il y a beaucoup de descriptions, ce qui pourrait constituer un frein pour certains lecteurs.
Les personnages sont travaillés, même si le héros principal me semble vraiment trop parfait.
Avis plus long à la fin de la saga...
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Trois sœurs. Trois destins. Trois vies aussi différentes que les images changeantes d'un kaléidoscope.
Août 1944 : Solange rencontre à Paris un jeune soldat américain, Sam Walker. C'est le coup de foudre. A la fin de la guerre, elle le rejoint à New York. Mais leur histoire d'amour, qui a commencé comme un conte de fées, se termine tragiquement quatorze ans plus tard alors que Sam Walker, devenu l'un des acteurs les plus fameux de Broadway, est au faîte de la gloire. Leurs trois filles, âgées de huit ans, cinq ans et un an, se retrouvent soudain seules au monde et, placées dans des familles différentes, perdent tout contact. Hilary, l'aînée, qui a gardé le souvenir de son passé, connaîtra une enfance sordide et misérable. Alexandra, la cadette, sera élevée en France dans une riche famille aristocratique, elle épousera un baron français, ignorant tout de sa naissance comme Megan, la benjamine, qui exerce la médecine dans un hôpital du Kentucky. Les trois soeurs n'auraient jamais dû se revoir si, à la veille de mourir, le meilleur ami de leur père, rongé par le remords de son indifférence, n'avait engagé pour les retrouver John Chapman, un détective privé. Pour celui-ci commence alors une enquête mouvementée qui le conduit des taudis de Boston aux montagnes du Kentucky en passant par les milieux aristocratiques de Paris. Hanté par ces trois jeunes femmes, il n'a de cesse qu'elles soient réunies à nouveau. Mais, quand vient le jour des retrouvailles, la vérité éclate et les protagonistes du drame sont soudain confrontés à un terrible secret...
Ce livre ne sera pas mon préféré.
J'ai mis énormément de temps pour plonger dans l'histoire. Le début est lent et un peu ennuyeux. Mais une fois ce cap passé, l'histoire a quand même réussi à me captiver, même si la fin est prévisible...
Je n'en garde pas un souvenir impérissable, mais je pense qu'il pourra plaire aux fans de l'auteur, même si ce n'est pas son meilleur, à mes yeux.