Je me prononce ou je me tais ? Tout est dit sans oser le raconter. Je suis e, sans y être car avec ou sans accent, avec ou sans enfant(s) ?

Dans le formulaire, merci de bien vouloir cocher « homme », « femme » ou? La e muette est l’histoire des non genrée-s, à travers les âges et à travers les styles : poèmes, lettres, fables, théâtre. C’est un nouveau genre, le roman d’essai.

Je ne sais pas trop comment commencer cette chronique.

En effet, je suis très mitigée quant à ma lecture.

Autant le thème semble intéressant (pour moi du moins), autant j'ai trouvé la lecture  parfois "lourde" et compliquée. Par moment, je devais relire pour être certaine d'avoir bien compris. 

Cette lecture a été assez compliquée pour moi. Je suis pourtant ouverte à beaucoup de style d'écriture, de genre littéraire, etc , mais malheureusement, je n'ai pas été réceptive cette fois-ci.

Toutefois, entendons-nous bien, je ne démonterai ni le livre ni l'auteur. Au contraire, je lui souhaite de trouver son public.

Cornélia est un roman d'aventure pour enfants qui raconte les péripéties et malheurs d'une jeune fille de treize ans, immature et mal dans sa peau qui, au collège, subit le harcèlement d’un groupe.  De façon inattendue, elle acquiert un don qui ne l'aide pas idéalement comme elle l'attendait. Du jour au lendemain, elle a l'opportunité de lire dans la tête des autres. Un voyage dans un monde inconnu qui lui donne accès à de précieuses informations. Ce don de "voyance" lui permet de savoir enfin ce que les autres pensent d'elle, pensent vraiment d'elle. Question essentielle et dans laquelle chacun peut se reconnaître. Ces allers-retours dans une autre dimension l’enchantent.

Son pouvoir va cependant devenir rapidement insoutenable. Elle part alors à la recherche de la voyante qui le lui a transmis afin que cette dernière l'en débarrasse.

Le parcours initiatique de l'adolescente s'associe à des enquêtes de différents niveaux : enquête sur soi, enquête sur les autres et enfin enquête sur la famille de la vieille femme qui lui a fait cadeau de ce pouvoir avant de lui interdire de la revoir.

Au cours du roman, de plus en plus décontenancée par ce nouveau positionnement, la jeune fille oscille entre le dit et le non-dit.

Au fil du désenchantement et des rencontres, Cornélia va dépasser la simple curiosité pour accéder à plus de lucidité et de maturité. À travers ses mésaventures et de nombreux rebondissements dans un univers mi réel mi fantastique, elle apprend à se connaître et à s'accepter telle qu'elle est. Elle redécouvre également son environnement familial et scolaire sur lesquels elle va porter un regard neuf. 

Tout d'abord, je tiens à remercier Chloé des Lys pour l'envoi de ce service presse. Et j'en profite, également, pour présenter mes excuses pour avoir mis une éternité pour lire et surtout rédiger cette chronique.

Quand on ouvre ce livre, on ne le referme que quand il est terminé. Du moins, c'est ce qu'il s'est passé pour moi. 

Je me suis retrouvée emportée par l'histoire qui m'a emmenée dans un monde tout en douceur. 

Le don est le thème central de ce récit, mais abordé autrement que d'habitude.

Je le recommande pour ceux et celles qui souhaitent se réconcilier avec la lecture. En effet, en plus de ce lire vite et facilement, il n'est pas long. De plus, l'histoire est belle, douce et originale avec énormément de sensibilité.

Victime d’un crash d’avion, emporté par le courant de l’océan, Rodrigue échoue sur une île déserte aux étranges constructions. Il y découvre une étrange et sombre monolithe, orné d’une empreinte non humaine. Mû par une curiosité malsaine, il y applique sa main.

Il s’éveille, manifestement dans le passé de la Terre, avec l’esprit prisonnier d’un corps effrayant. Rodrigue découvre une race antédiluvienne dont l’un des buts principaux semble être de faciliter le retour d’une créature titanesque. Un monstre rêvant de reconquérir un monde qui lui appartenait, autrefois… Au bord de la folie, Rodrigue déambule longtemps jusqu’à retrouver le monolithe.

Y appliquant de nouveau la main, le pauvre naufragé se retrouve bien dans son époque, mais trois ans plus tard, et pire encore, dans un autre corps, celui d’un marin français. Incapable de comprendre ce qu’il lui arrive, il luttera contre l’horreur jusqu’à la fin…

Avis en demi teinte. 

J'ai apprécié l'idée de ce récit, toutefois, j'aurais aimé que l'ambiance soit plus prenante.

De plus, les voyages dans le temps finissent par devenir répétitifs et réguliers, et j'avoue que parfois je m'y suis perdue et m'y mélangeant les pinceaux. 

Mais pour certains, je pense que ça ne posera aucun problème.

Pour conclure, c'est un roman court qui, malgré quelques points négatifs, plaira aux amateurs de science-fiction, de fantastique et/ou d'horreur.

Depuis l'enfance, Iris a une passion pour la couture. Dessiner des modèles, leur donner vie par la magie du fil et de l'aiguille, voilà ce qui la rend heureuse. Mais ses parents n'ont toujours vu dans ses ambitions qu'un caprice : les chiffons, ce n'est pas « convenable ». Et Iris, la mort dans l'âme, s'est résignée. Aujourd'hui, la jeune femme étouffe dans son carcan de province, son mari la délaisse, sa vie semble s'être arrêtée. Mais une révélation va pousser Iris à reprendre en main son destin.

Dans le tourbillon de Paris, elle va courir le risque de s'ouvrir au monde et faire la rencontre de Marthe, égérie et mentor, troublante et autoritaire... Portrait d'une femme en quête de son identité, ce roman nous entraîne dans une aventure diabolique dont, comme son héroïne, le lecteur a du mal à se libérer.

Ce livre, qui se lit facilement et rapidement, nous montre qu'il faut toujours croire en ses rêves, même quand on est adulte. 

Le destin finit toujours par nous conduire quelque part. 

Ce livre est addictif, on a envie de tourner les pages au fur et à mesure qu'on lit. 

Il est bien écrit, l'auteure a une écriture fluide, invitant à la lecture. Les personnages sont travaillés et bien décrits. Certains sont attachants tandis que d'autres sont détestables. (j'ai, par exemple, détesté le mari d'Iris dés le départ).

Bref, j'ai passé un agréable moment lecture et j'ai bien envie de découvrir d'autres écrits de cette auteure.

Un voyage de deux semaines en Bretagne: c'est le cadeau fabuleux que se sont offert les jumeaux Max et Isabelle afin de célébrer leurs 17 ans.
Le périple qu'ils avaient minutieusement préparé leur réserve cependant une surprise de taille. Après une dizaine de jours passés à parcourir le pays sac au dos, une pluie torrentielle les force en effet à trouver refuge au Manoir de Bellotte, qui est aussi un gîte champêtre.
Mais quel gîte!

Les adolescents sont émerveillés par la splendeur des décors dignes de Louis XIV au sein desquels les introduit la propriétaire, une charmante et élégante vieille dame. Lorsque cette dernière leur offre l'hospitalité pour un prix dérisoire, ils ne se sentent ainsi pas le coeur de refuser.

Or, dès la première nuit, Isabelle perçoit une présence dans la chambre qu'on leur a assignée. Présence qui, elle en est convaincue, menace son frère. Le phénomène aurait-il un lien avec les circonstances nébuleuses entourant la mort d'Isabelle de Bellouan, dite Bellotte, qui est décédée en 1928 à la veille de son 17e anniversaire? Quoi qu'il lui en coûte, Isabelle est bien décidée à éclaircir le mystère. Et l'étrange don qu'elle se découvre peu à peu la guidera dans sa quête de vérité ...

Deux québécois en vacances en Bretagne... 

Voilà qui semble bien ordinaire...  Mais détrompez-vous, on plonge dans une étrange histoire, au coeur de bien mystérieux secrets. 

Tout commence dans un drôle de manoir...

Je ne ferai pas une réelle chronique parce que ma lecture remonte à trop longtemps, malheureusement....

Je me souviens avoir apprécié ce livre, même si j'ai regretté que les dons d'Isabelle ne soient pas mis davantage en avant....

Dans un monde médiéval où se côtoient vampires, sorciers et humains, le fragile équilibre entre les trois espèces est en passe de se rompre.

Pillages et cadavres exsangues jalonnent le duché de Mulesheim. Des hordes de goules s’attaquent au château du duc Andras. Une force inconnue, ivre de haine et de rancœur, cherche à renverser un ordre plus que millénaire.

Entraînée bien malgré elle dans cette guerre sans pitié, Alessa, fille de Warin, va devoir apprivoiser le pouvoir des quatre éléments jusqu’à devenir la sorcière la plus puissante que la terre ait portée. Mais cela suffira-t-il à arrêter les légions du Mal ?

Auteure rencontrée en Alsace et bouquin offert par mon chéri qui a compris que j'avais craqué sur la couverture.

Et j'ai ADORE cette lecture. Ce livre se dévore en un rien de temps. Les personnages sont attachants et/ou détestables, selon leur personnalité (qui est bien travaillée).

On vit les aventures d'Alessa avec elle. On a peur quand elle est effrayée, par exemple.

J'ai tellement apprécié ma lecture... que je ne suis pas contre une suite...

Des fillettes retenues prisonnières dans une manufacture japonaise sont lentement métamorphosées en vers à soie... Une masseuse se découvre dotée d'étranges pouvoirs en manipulant les tatouages d'un jeune soldat revenu d'Irak...

Deux vampires prisonniers d'une citronneraie brûlée par le soleil tentent désespérément d'étancher leur soif de sang, au risque de mettre un terme à leur relation immortelle...

Autant de mondes parallèles fascinants, entre mythe et réalité, qui confirment la subtile extravagance et l'inventivité hors pair d'un des meilleurs écrivains de sa génération.

Recueil de nouvelles découvert au hasard d'une boite à livres. Lu il y a plusieurs mois... La chronique va être compliquée, et le fait qu'il s'agisse d'un recueil va encore plus me compliquer la tâche...

De ce que je me souviens, je n'avais pas éprouvé le même plaisir pour chaque texte. Certains étaient malaisants, mais bien écrits puisqu'ils laissaient parfaitement transparaitre cet atmosphère de malaise. D'autres textes, en revanche, étaient plus "doux". 

Comme quoi, parfois, le hasard permet de belles découvertes...

Le plus courageux des Immortels s’est éteint, tandis qu’une alliée de taille fait son apparition. La première nouvelle attire hors de l’ombre le mystérieux Sephir, alors que la seconde permet à Ulysse de tenter une nouvelle fois d’obtenir le soutien des puissants Crysalis.

La guerre Frost-Atlantia contre Rinosia, que tous nomment déjà « Guerre Froide », est imminente et s’avère plus périlleuse que prévu. Son enjeu est capital pour le bien de Mystria alors qu’à Némusia, Agaard devra faire un choix : fuir son destin ou l’accepter stoïquement. En effet, son père est en route pour rayer de la carte Némusia et tous ceux qui oseront lui faire obstacle.

« La Guerre Brulante » approche, menée d’une main loufoque par Loki et les siens. Pendant ce temps, Clad reprend la recherche des derniers Récipients accompagné de sa nouvelle équipe, tandis que Dixie poursuit sa quête pour devenir Apôtre Absolue aux côtés de ses deux maitres. Mais Ahriman n’est plus l’unique menace à affronter. Un autre démon, dévoré par la folie, semble vouloir mettre à feu et à sang Mystria et pire encore, faire disparaitre la planète Prima tout entière, en commençant par la libération des redoutables Daevas.

Entre allié et ennemi, la frontière est parfois extrêmement fine. Clad et les siens arriveront-ils à la distinguer ? 

De retour à Mystria. 

Quel plaisir, quel bonheur de retrouver tout ce petit monde et de le suivre dans ses nouvelles aventures.

L'écriture est toujours aussi 'visuelle' permettant de s'imaginer facilement les différentes scènes. 

J'ai vraiment peur de vous spoiler et de gâcher votre plaisir, et par conséquent, je ne sais pas trop comment rédiger ma chronique.

Alors, je dirai simplement que je remercie mon compagnon pour sa folie, mais je suis certaine qu'il a bien fait de m'offrir les 6 tomes en une fois. 

Les prénoms épicènes peuvent être à la fois masculins et féminins. A ce nom savant on préfère souvent le terme de prénoms mixtes.
Derrière le titre d'Amélie Nothomb, l'histoire d'une relation père fille.

Encore un Amélie Nothomb qui s'est lu à toute vitesse. 

Une relation père/fille où le père n'aime pas vraiment sa fille qui le lui rend à sa façon. 

Mais cet homme aime-t-il réellement sa femme ? Rien n'est moins sûre.

Quand la vengeance conduit à la manipulation et au faux amour...

Amélie Nothomb a encore une fois choisi ses mots à la perfection, elle maitrise clairement son écriture.

De nouveau, j'ai été conquise par cet autrice. 

C'est la guerre et c'est l'hiver.
Deux hommes et une femme sont terrés dans un appartement.
Combien de jours leur reste-t-il à vivre ?
En attendant, il n'est plus interdit de révéler ses vraies passions.
L'amour, le désir, l'intelligence résistent-ils au froid ?
A-t-on le droit de consumer ses dernières forces à lire de la mauvaise littérature ?
Enfin, à l'heure du choix ultime, quel livre est assez important pour ne pas être mis à l'épreuve du feu ?

 C'est avec plaisir que je retrouve la plume d'Amélie Nothomb, et comme souvent (pour ne pas dire toujours), avec elle, ça passe ou ça casse. Et une nouvelle fois, pour moi, c'est passé.

On se retrouve dans un huis-clos avec trois personnes dans une pièce quasi vide, le mobilier ayant servi de bois de chauffage, pour tenter de garder un semblant de chaleur en cet hiver, en pleine guerre. 

Il ne reste plus qu'un seul combustible disponible... LES LIVRES ! 

Lesquels brûler ? Lequel garder ? Et si il ne devait en rester qu'un ? 

C'est donc cette discussion que nous suivons...

Et si nous étions à leur place, qu'est-ce qu'on ferait ? 

Ce n'est pas mon Nothomb préféré, mais il s'est laissé lire rapidement, et j'ai quand même apprécié de retrouver sa plume.

En été 1999, à la veille de l'éclipse partielle du soleil dans le Sud de la France, un détective privé spécialisé dans l'irrationnel est engagé pour enquêter sur une série de disparitions inexpliquées. En effet, en quelques mois, des promeneurs, un couple de retraités, les clients d'un cinéma et même tous les passagers d'un avion de ligne ont mystérieusement disparu. Dès le début de son investigation, le détective assiste à l'évanouissement improbable de terroristes et de quelques otages au cours de l'attaque à main armée d'une banque de Salon-de-Provence.

L'affaire s'avérant difficile, l'enquêteur s'associera avec un commissaire de Marseille. Ensemble, ils auront fort à faire pour résoudre cette enquête... Et demeurer vivants.

Il s"agit du premier livre de Christian Perrot que je lis. 

Je l'ai rencontré, avec mon compagnon, lors du festival du jeu de rôles, en Alsace et je me suis laissé tenter par deux de ses livres, dont, vous vous en doutez, celui-ci.

Et c'est une belle surprise. On y suit les aventures d'un commissaire de police et d'un détective privé un peu particulier. 

Les deux sont excellents, chacun à sa manière. Ils ont une personnalité propre et travaillée et leur complémentarité est bien décrite.

L'enquête est facile à suivre pour le lecteur, cependant, rien n'est révélé avant l'heure. Nous sommes donc tenus en haleine du début à la fin. 

Les apports historiques enrichissent l'enquête des deux amis (et par extension, ils enrichissent également le récit).

Nous nous retrouvons plongé dans un livre de science-fiction, mais c'est savamment dosé et je suis presque sûre que ça pourrait plaire aux personnes qui n'en sont, de base, pas fans. 

De nombreuses années se sont maintenant écoulées depuis l’Ère rouge, cette période sanglante de guerres et de chaos. Les dieux ont accepté de l’écarter définitivement en créant onze Immortels chargés de rétablir la paix dans les royaumes et de les gouverner.La fête de la Félicité, organisée chaque année à Lumyria, est là pour le rappeler.

Mais cette fois, une terrible nouvelle vient gâcher l’ambiance du Scarfizz où des équipes, menées par les Immortels, s’affrontent dans des joutes festives ! Des centaines d’enfants, provenant des différents royaumes, ont été mystérieusement enlevés. Syrius l’Invincible, roi des rois Immortels, va partir à leur recherche. Ainsi, les onze Immortels et leurs fidèles Bras-droits traqueront les coupables afin que justice soit faite.

De leur côté, les redoutables Pirates sortent de l'ombre. Leur impitoyable capitaine, M.L. Pharos, est prêt à tout pour se venger de l'affront qu'Auron lui a fait. Même si cela suppose de mettre Mystria à feu et à sang !Mais en plein cœur des onze, une noirceur démoniaque grandit et se déploie dans l'ombre.

De nouveaux partisans se laissent séduire par cette puissance avide de pouvoir, d'autres sont contraints de ployer le genou. Mystria sombre petit à petit vers l'ère la plus obscure qu'elle ait jamais connu.

Ce tome 2 n'est pas une suite en tant que telle, il s'agit, en réalité, d'un voyage vers le passé, afin de mieux comprendre "le présent" du reste de l'histoire. (Comment ça, je ne suis pas claire dans ce que je dis ? Bon, ok, je vous l'accorde.).

C'est du moins ainsi que je l'ai ressenti. 

On y découvre donc les onze Immortels. Ils sont détestables ou attachants (surtout attachants) mais ils ne vous laissent pas indifférent. 

Ils ont tous une personnalité travaillée qui leur est propre. 

Les parties de scarfizz sont plaisantes à suivre, et l'écriture visuelle de l'auteur nous permet facilement d'imaginer la scène. 

Vous l'avez sans doute compris, j'ai passé un agréable (et trop court) moment lecture, et j'ai autant apprécié ce tome que son prédécesseur.

A suivre ! 

Depuis le jour du Grand Renversement, Mystria n’est plus qu’un chaos sanglant régi par le terrifiant Ahriman et ses sbires.
Tapi dans l’ombre depuis son avènement au pouvoir, il entre finalement en scène et déplace ses pions sur le grand échiquier de l’ombre : neufs royaumes encore sous son joug, dont les armées redoutables sont prêtes au combat. Les pièces du puzzle s’assemblent peu à peu : Kyron lève le voile sur son identité secrète, deux des Immortels que tous croyaient morts refont surface et Clad découvre la vérité sur son passé.£

Mais surtout, les Récipients, fruit des expériences du vil Scientifique au service d’Ahriman, apparaissent enfin et dévoilent toute leur puissance aussi indispensable que déterminante pour l’avenir de Mystria.Ulysse et Odin, de leur côté, après avoir sauvé le royaume de Rinosia, se préparent à la prochaine guerre qui les opposera aux royaumes de Frost et d’Atlantia, qui ne pourrait être remportée sans l’aide de précieux alliés.

À Némusia, Auron et ses amis ont désormais deux objectifs : retrouver les Récipients disparus et ouvrir le passage vers Ellendyl, le royaume des Elfes. Alliances et trahisons, intrigues et pièges, une ère bien sombre pour Mystria dont personne ne saurait présager l’issue.

C'est avec grand plaisir que j'ai retrouvé Clad, Dixie et les autres. 

Les pièces du puzzle commencent à s'assembler et Clad découvre "ce qu'il est". 

C'est avec cette motivation qu'il suit Auron à la recherche des autres récipients. Accompagnés de leurs fidèles amis, ils vont vivre des aventures palpitantes.

L'écriture est toujours aussi belle et douce, facile à suivre et à lire...

bon, depuis le temps, je pense que vous avez, sans doute, compris, que j'étais fan de la saga et que je raccourcissais mes chroniques pour vous spoiler le moins possible.

L'histoire se déroule a Rinosia, l'un des dix royaumes qui composent le continent de Mystria. Clad, un jeune garçon aux mystérieux pouvoirs, redécouvre ses sentiments, et ce que signifie réellement la notion de famille, aux cotes d'un vieux sage et de ses petits-enfants, Dixie et Kinhta.
Cependant, la vie paisible que Clad entrevoit sera très vite perturbée par les révélations de l'étrange Kyron, qui concernent non seulement son passe, mais également la destinée de Mystria.
Quel choix fera le jeune garçon ? Que cache réellement Kyron ?

Depuis quelques temps, Mr Anonyme et son univers l'intriguaient à chaque salon où je le croisais. Je m'étais dit qu'un jour, je franchirais le pas, et je lirais au moins le premier tome.... C'était sans compter sur mon compagnon qui m'a offert.... la saga complète ! (oui oui, il est fou, mais c'est aussi pour ça que je l'aime !).

Bon, alors, ce tome 1? 

Et bien, il se lit rapidement.
L'écriture est douce et fluide, on est embarqué dès les premières lignes de l'histoire. La manière d'écrire est descriptive, voire, par moment, visuelle, ce qui permet de s'imaginer facilement les scènes décrites.

J'ai également apprécié l'idée de retrouver de la mythologie revisitée et de trouver un descriptif des personnages principaux de ce tome. 

Arrivée à la fin du livre, je n'avais qu'une envie... lire la suite !

9 hackers combattent un dictateur.
Des vies sont en danger.
Une reporter d'investigation va s'infiltrer en terrain ennemi.
Le temps est compté.
Le Groupe 9, plus uni que jamais, repart en mission.
L'avenir de tout un peuple est en jeu.
De Londres à Kyïv, de Vilnius à Rome, un roman d'aventures et d'espionnage au suspense trépidant, une histoire qui interpelle et invite à réfléchir sur le monde qui nous entoure.

Dernier tome d'une trilogie, je l'ai lu sans le savoir. 

Quand je m'en suis rendue compte, j'avais déjà bien entamé ma lecture et j'ai décidé de continuer malgré tout. Et finalement, j'ai passé un agréable moment. Je pense que les tomes peuvent donc se lire indépendamment, même si on est bien d'accord qu'il y a une chronologie à suivre, bien entendu. Mais la lecture seule n'empêche pas la compréhension du tome en question.

On y suit donc la vie des différents hackers où se mêlent histoire d'amour, actualité (oui, l'histoire ressemble pas mal à ce qui se passe actuellement dans le monde...), danger(s) et prise de risques.

Je suis contente d'avoir apprécié ma lecture, car à part avec "Les enfants de la Liberté", j'ai toujours eu du mal avec les romans de Marc Lévy. Je pense que dans ce roman, il a un style d'écriture différent et c'est à ce style là que je me suis accrochée et qui m'a permis d'apprécier ma lecture. 

Le "polar" semble  bien lui correspondre et son analyse de l'actualité internationale sonne assez juste, ce qui rend ce roman encore plus réaliste.