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  • Depuis la nuit des temps, un continent brille de mille feux, pourtant caché aux yeux de tous. Peuplé de magiciens, divisé en sept contrées et gouverné avec sagesse, il y fait bon vivre.

    Hélas, une mouvance rebelle, déterminée à étendre sa suprématie, projette de détruire le bouclier qui, par son pouvoir, maintient ce monde invisible. Pour cela, tous les gardiens du bouclier doivent être assassinés. Décidée à déjouer ce funeste plan, l’Ancienne de la contrée du Sud jette un sort d’oubli à Lyïs et lui offre une nouvelle vie à Paris.

    Durant deux années, la jeune femme exerce son art de tatoueuse sans connaître sa véritable nature de magicienne. Malheureusement, sa notoriété grandissante alerte ses ennemis. Deux sentinelles sont alors envoyées auprès d’elle pour la protéger et l’escorter jusqu’à Terra-Luna dans un parcours semé d’embûches.

    Terra-Luna, tome 1 : La gardienne du bouclier par Justine

    Merci maman pour ce cadeau de Noël. 

    Alors, qu'en ai-je pensé ?

    Il s'agit d'un premier tome, ma chronique ne sera donc pas longue, afin de ne pas vous spoiler l'histoire. 

    Dès le début, on plonge dans un monde magique. On découvre ce mystérieux septième continent. On suit les aventures de Lyïs, envoyée à Paris, son évolution au fil des pages et les chamboulements qui vont modifier son train-train quotidien.

    L'écriture est facile à lire, sans lourdeur. Les personnages sont attachants, surtout Gus.

    Bref, je demande à voir ce que nous réserve le tome 2...

    A suivre... 


  • C'est officiel. Margot est admise en sixième au collège du Parc des Grands Pins. Enfin elle entre dans la cour des grands !

    Mais avant tout, les préparatifs : se procurer le carnet de correspondance, faire des photos d'identité, et surtout décider de la tenue qu'elle portera pour le premier jour. Sa sœur aînée est catégorique : jean, et surtout pas de cartable !

    Le jour tant redouté arrive. Tout le monde a un cartable et quasi toutes les filles sont habillées en jupe ! Une déconvenue qui n'empêchera pas Margot de se présenter aux élections des délégués de classe. Car elle rêve d'être populaire...

     

    La Sixième par Morgenstern

    Je n'ai pas été emballée par ma lecture, mais peut-être parce que je l'ai lu avec mes yeux d'adultes alors qu'il s'agit d'un livre jeunesse.

    Je n'ai pas accroché à l'histoire ni aux personnages. Même à Margot. Je n'ai pas réussi à m'attacher à elle.

    Sans doute, suis-je trop vieille pour la littérature jeunesse.


  • Le foyer de cette famille d’artistes est une vraie « maison de papier » ; chacun peut y entrer à sa guise.

    Le mari est peintre, la femme est écrivain. Ils ont deux garçons et deux filles. On rencontre chez eux des amis, des voisins, des inconnus, des « employées de maison »… Ce sont les enfants qui tiennent cependant la première place, et le permanent dialogue qu’ils entretiennent avec leur mère est pour elle un moyen de préciser ses idées sur tous les problèmes de la vie. « Faire une famille, dit-elle, c’est faire une œuvre. » Celle-ci, variée, surprenante et toujours concrète, apparaît comme un univers en réduction, où chacun se retrouve en pays connu, dans une atmosphère de chaleur vraie, de tendresse et d’humour. C’est que Françoise Mallet-Joris a le don de préserver le frémissement de ses émotions aussi bien que l’ironie du regard critique qu’elle pose sur ses proches et ses semblables, avec un talent d’une rare fidélité au naturel de la vie.

    La Maison de papier par Mallet-Joris

    C'est le premier livre de l'autrice que je découvre (au hasard d'une boite à livres). 

    Même si j'ai passé un (rapide et) agréable moment lecture, ce roman autobiographique ne me laissera pas un souvenir des plus marqués. 

    On y suit le quotidien d'une famille (travail, religion, éducation des enfants). 

    Malgré la vivacité de l'écriture, on y trouve quelques longueurs et répétitions qui alourdissent le récit et plombent, un peu, la lecture et l'avancée dans le roman. 

     

     


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  • #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Mr Anonyme

     Qu'est-ce qui vous a poussé à écrire ?

    Un rêve. Celui de la saga Mystria. L’ebauche de l’histoire refusait de s'en aller alors j'ai commencé à écrire sur papier pour que ça sorte de ma tête. Mais plus j’écrivais,  plus ce qu'il se passait me plaisait. Ce sentiment d’évasion et de donner vie à son imagination, c’était devenu additif. Alors j'ai continué… 

    Comment vous est venue l'idée de l'univers de votre saga ?

    Comme expliqué précédemment, Mystria est véritablement venue d'un rêve. Je me souviens m’être réveillé avec cette sensation euphorisante d’avoir vécu la plus belle des aventures. Auron, Vayu, Shiva… j’avais l’impression de les avoir côtoyé durant mon rêve et ils étaient géniaux, il fallait que j’y retourne alors Mystria est née. 

    #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Mr Anonyme

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ?

    De bizarre  Je ne suis pas sûr qu’il existe un terme bien précis pour mon style d’écriture.  Si je devais tout de même le nommer je dirais que j'ai un style d’écriture de type scénario de Jeux Vidéo mixé avec une énorme inspiration Manga. Le style d’écriture « J. V. M. » ça sonne bien je trouve non ?  

    Parmi tous vos personnages, lequel préférez-vous ? Pourquoi ?

    J’espérais ne pas tomber sur cette question…  il y a environ une quarantaine de personnages principaux dans Mystria et chacun possède une petite partie de moi. En choisir un ou une est donc une véritable épreuve de fou. Mais puisque je suis bon joueur je dirais que mon personnage préféré est mon petit « lu » Jake l’hybride.  Je l’aime beaucoup car il me fait penser à une sorte d’outsider.  Il n’est pas aussi puissant que les Immortels ou que les Récipients, je pense même que les Bras-droits lui donneraient une bonne leçon. Pourtant, il s’accroche et fini -ATTENTION SPOILER- par découvrir en lui un pouvoir insoupçonné qui le rendra très intéressant à développer… 

    Quels arguments mettriez-vous en avant pour convaincre quelqu'un, qui ne vous a jamais lu, de vous lire ?

    J’aime dire qu’il plaira à ceux qui n’aiment pas lire. Plus précisément aux personnes qui détestent devoir lire une quinzaine de pages de descriptions et de mots savants pour finalement apprendre que le personnage s’est gratté la fesse gauche avant de seulement ouvrir une porte….

    Mes arguments seraient donc que dans Mystria l’action y est omniprésente, les lecteurs ont l’impression de lire un film, de lire un jeux vidéo et les fans de manga y seront plus que comblés. Tout comme les fans de mythologies grecque, scandinave, égyptienne et hindoues. Évidemment les fans de fantasy devraient également y trouver leur bonheur.

    Le dernier argument serait sans aucun doute le concept que je propose à travers la saga Mystria et qui est unique au monde : un jeu d’énigmes qui donne la possibilité au lecteur qui les décryptera toute de découvrir mon identité, avec une récompense pour le 1er qui y parviendra. (personne n’y est encore parvenu à ce jour…)


  • #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Tess Corsac

     

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ? 

    C'est un style assez intime qui permet au lecteur de projeter ses valeurs.

    J'aime bien que mon écriture permette de se poser des questions sur divers sujets et pouvoir expliquer des thématiques importantes.

    Parmi tous vos personnages, lequel préférez-vous ?

    Almir, du livre "Le Roi des Hyènes"

    Il cristallise beaucoup de choses personnelles. J'ai pris beaucoup de plaisir à le créer. C'est, à mes yeux, le plus réussi en terme de valeurs.

    #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Tess Corsac

    Quels arguments mettriez-vous en avant pour convaincre quelqu'un, qui ne vous a jamais lu, de vous lire ?

    Je suis une autrice francophone. Je situe mes histoires dans un lieu proche, en France, dans le milieu rural, ce qu'on ne voit pas souvent. 

    Un petit mot sur le salon ?

    Bonne ambiance, plein de monde. Il y a une super cohésion avec les autres exposants et les lecteurs.

    #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Tess Corsac


  • #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Jennifer Tellier

     

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture? 

    C'est de la fantasy. Mon style n'est pas très descriptif, je préfère aller dans l'action. J'ai beaucoup d'intérêt pour la psychologie des personnages. 

    C'est aussi grâce aux jeux de rôles et surtout aux frustrations créées par le maitre du jeu que j'ai décidé d'écrire "L'assoupi"

    Parmi tous vos personnages, lequel préférez-vous ?

    Kern. Il apparait dans le roman "L'Enragée". Elle est badass, mais plus complexe qu'on ne le croit. Les lecteurs m'en reparlent encore. 

    #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Jennifer Tellier

    Si vous deviez convaincre quelqu'un, qui ne vous a jamais lu, de vous lire, quel argument mettriez-vous en avant ?

    Si vous aimez les aventures épiques, les personnages complexes et surprenants, alors, allez-y !

    Un petit mot sur le salon ? 

    C'est la première fois que je viens, c'est génial !

     


  • #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Emilie Querbalec

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ? 

    Il est variable, mais pour le dernier roman, il est qualifié de poétique. J'ai attaché de l'importance à faire vivre l'univers en créant des descriptions dynamiques des paysages. 

    Mon style a tendance à varier selon la nouvelle ou le roman.

    Parmi tous vos personnages, lequel préférez-vous? Et pourquoi ? 

    Kaori, le héros de mon dernier roman.  Il est la voix narrative que l'on suit du début à la fin. 

    #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Emilie Querbalec

    Quels arguments mettriez-vous en avant pour convaincre quelqu'un de vous lire ?

    Pour "Quitter les monts d'automne", il faut aimer la science fiction et la culture japonaise. 

    Quel a été l'accueil du public ? 

    Très bon accueil. Les gens se sont montrés assez curieux. 

    Un petit mot sur le salon ?

    C'est la première fois que je viens. Il y a des déguisements superbes. 

    #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Emilie Querbalec

     

     


  • #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Geoffrey Legrand

     

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture ?

    Descriptif, avec de l'ambiance pour favoriser l'immersion. J'aime beaucoup les consonnances, quand les phrases sonnent. 

    Parmi tous vos personnages, lequel préférez-vous ?

    L'héroïne de Osukateï. Elle évolue sans cesse, elle se remet toujours en question. 

    Elle est la fille d'un seigneur, issue de la noblesse, mais le pouvoir n'est pas héréditaire. Elle se cherche, se forme auprès d'autres personnages. 

    La citation de la quatrième de couverture la présente assez bien : "J’ignore comment les historiens futurs me jugeront. Me verront-ils comme un despote, un tyran sanguinaire, une folle qui renversa le monde ? Ou bien mes actes auront-ils une telle portée qu’ils rachèteront mes crimes à eux-seuls ? Une chose est certaine, mon nom est gravé si profondément dans le bois de la déesse qu’une éternité serait insuffisante pour l’en effacer."

    #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Geoffrey Legrand

    Quels arguments mettriez-vous en avant pour convaincre quelqu'un, qui ne vous a jamais lu, de vous lire ? 

    Pour Osukateï, l'univers est la force de la saga. Les personnages sont proches de la nature, ils vivent dans un arbre monde. Et le monde dépend de cet arbre. Tout est lié à lui.

    Un petit mot sur le salon ?

    C'est ma première participation. C'est agréable, il y a de l'espace et beaucoup de variété dans les exposants.

    #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Geoffrey Legrand


  • #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Cécile Ama Courtois

    Comment qualifieriez-vous votre style d'écriture  ?

    Poétique. Très descriptif, voire cinématographique avec des descriptions en 4D, j'y décris les odeurs, les sensations, les émotions...

    Les dialogues sont assez percutant, la psychologie des personnages est approfondie. Et j'ajoute aussi un peu d'humour.

    C'est de la fantasy épique.

    Parmi les personnages que vous avez créé, lequel préférez-vous ? 

    Edoran. C'est le personnage principal de la saga "La Délégation". Mais c'est venu dans le tome 3, avant ce n'était pas le cas, mais il a évolué positivement.

    #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Cécile Ama Courtois

    Quel argument mettriez-vous en avant pour convaincre quelqu'un (qui ne vous a jamais lu) de vous lire ?

    "LISEZ-MOI" (en riant).

    Et bien, je dirais " ne présagez de rien, attendez-vous à tout. 

    Un petit mot sur le salon ?

    Limité niveau boissons et nourriture. Mais sinon, il y a une très bonne ambiance, c'est assez chouette, même si un peu "usine"

     

    #TrollsEtLegendes 2022 : Rencontre avec Cécile Ama Courtois


  • Ferdinand vit seul dans sa grande ferme vide. Et ça ne le rend pas franchement joyeux. Un jour, après un violent orage, il passe chez sa voisine avec ses petits-fils et découvre que son toit est sur le point de s'effondrer. A l'évidence, elle n'a nulle part où aller. Très naturellement, les Lulus ( 6 et 8 ans ) lui suggèrent de l'inviter à la ferme. L'idée le fait sourire. Mais ce n'est pas si simple, certaines choses se font, d'autres pas...

    Après une longue nuit de réflexion, il finit tout de même par aller la chercher. De fil en aiguille, la ferme va se remplir, s'agiter, recommencer à fonctionner. Un ami d'enfance devenu veuf, deux très vieilles dames affolées, des étudiants un peu paumés, un amour naissant, des animaux. Et puis, Paulette....

    Et puis, Paulette - Barbara Constantine

    Un peu de fraicheur et de tendresse dans ce monde de brut où tout part en sucette...

    Même si ma préférence reste à "Tom, tout petit homme, Tom", j'ai passé un agréable moment lecture. 

    L'écriture légère de l'autrice permet d'aborder avec douceur des thèmes qui peuvent, parfois, être assez complexes. La (triste) réalité qui pousse à la solidarité. 

    Cette histoire mélange les générations, quel bel exemple ! 

    Le titre ne se comprend qu'à la toute fin et ladite fin m'a particulièrement étonné. Je m'attendais à tout sauf à ça !!! Quelle surprise!

    A lire ;) 


  • En janvier 1995, Patrick Poivre d'Arvor bouleversait des millions de téléspectateurs en apparaissant à l'écran au lendemain du suicide de sa fille Solenn. Déjà, dans Lettres à l'absente, il nous avait livré avec une émouvante simplicité le dialogue d'un père et de sa fille anorexique. Ce livre lui valut un abondant courrier dans lequel des malades, ou leurs proches, lui disaient leur reconnaissance pour avoir témoigné de ce qu'ils vivaient. Avec la même sincérité et la même pudeur, il nous dit ici ce que fut - ce qu'est toujours - le deuil. Ces pages écrites au hasard d'un voyage en train, ou dans les rares moments d'inaction d'un homme qui voulut se jeter dans le travail pour éviter de souffrir, ont un inoubliable accent de vérité. " Si cette souffrance qui a été la nôtre peut aider tous ceux qui ont été ou vont être confrontés à la boulimie ou à l'anorexie ", écrit Véronique Poivre d'Arvor en préface, " alors Solenn ne sera pas morte pour rien. "

    Elle n'était pas d'ici  - Patrick Poivre d'Arvor

    Un récit touchant. Celui d'un père qui a perdu sa fille. Ce père se raconte à mots choisis, avec pudeur et avec douceur.

    Je pense, et cela n'engage que moi, qu'il est compliqué de chroniquer un livre aussi intime et personnel. Chacun gère son deuil à sa manière et personne ne devrait juger...

     

     


  • Plan du festival "Trolls et Légendes" à Mons, ces 15,16 et 17 avril 2022